Les Paradis artificiels PDF
Baudelaire Charles – Les Paradis artificiels – Opium Haschisch : Cet essai réunit, dans une édition de 1860, deux articles de Charles Baudelaire : le premier, paru le 30 septembre 1858 dans la Revue contemporaine, sous le titre De l’Idéal artificiel, le Haschisch, et le second, les 15 et 30 janvier 1860 dans la même revue,  Enchantements et tortures d’un mangeur d’opium, très inspiré de Thomas de ...

Charles Baudelaire - Les Paradis artificiels

Les Paradis artificiels

Opium Haschisch

Charles Baudelaire

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Idioma
francês
Formato
epub
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Descrição

Baudelaire Charles – Les Paradis artificiels – Opium Haschisch : Cet essai réunit, dans une édition de 1860, deux articles de Charles Baudelaire : le premier, paru le 30 septembre 1858 dans la Revue contemporaine, sous le titre De l’Idéal artificiel, le Haschisch, et le second, les 15 et 30 janvier 1860 dans la même revue,  Enchantements et tortures d’un mangeur d’opium, très inspiré de Thomas de Quincey (Confessions d’un mangeur d’opium anglais, 1822).
Dans ce texte, conçu comme une conférence, il décrit en observateur/acteur les effets du haschisch : Que les gens du monde et les ignorants, curieux de connaître les jouissances exceptionnelles, sachent donc bien qu’ils ne trouveront dans le haschisch rien de miraculeux, absolument rien que le naturel excessif. Il n’en était d’ailleurs pas un grand consommateur. Gautier note que le poète s’est surtout contenté d’observer lors des séances du « Club des Haschischins » plutôt que de toucher à la « confiture verte ».
L’opium ou plutôt le laudanum lui était prescrit pour apaiser ses douleurs d’estomac et, progressivement, il s’était accoutumé de doses de plus en plus élevées. Cette deuxième partie reprend en grande partie la vie et le livre de Quincey  dont il décrit le chemin, partant d’une prise « innocente » pour un mal de dents, puis, dans une consommation à la fois voluptueuse et torturée dans le contexte de la mort de sa mère puis de sa sœur (morts  qui devenaient les sujets de rêves d’opium troublés et esthétisants), jusqu’à ses « tortures » dont l’une des plus dures est un état d’incapacité à accomplir une action quelconque malgré tout désir.

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